les Démonistes

Les Démonistes

L’histoire et la chartre de cette guilde ont été retrouvés dans un journal d’une victimes des innombrables tortures pratiqués communément par les Démonistes.

— 14 Octembre 1625
Malgré le temps qui s’est passé entre ma capture et aujourd’hui, je ne comprenais encore pas ce matin ce qui allait m’arrivé. Pourtant, dès les premières heures de la journée, j’eu maintes occasions de comprendre. Un de ceux qui se nommait les Démoniste vint vers moi et me serra fort le crâne, provoquant alors en moi une céphalalgie insoutenable. Alors que je commençai à gémir, il enflamma mon crâne par le simple contacte de sa main. Plus tard, un autre a lancé une incantation étrange, brisant net mon tibia, puis il est reparti plus loin, satisfait. Je suis tombé en plein cauchemar, je vais me réveiller demain et tout ira bien…

— 15 Octembre 1625
Je me suis réveillé au même endroit qu’hier. Tout est donc réel. Je n’eu pas le droit de manger, ni le matin, ni le soir. J’eu juste pour potence un rat mort que je dénichai, après avoir creusé quelque peu avec mes main. Mais peu après, un Démoniste ma pris par une jambe et m’a lancé sur une table, comme si j’étais léger comme une plume. Il m’enleva la peau des deux jambes et du bras droit, ainsi que tout les muscles de ces mêmes membres. A la place, il installa d’étranges tiges en métal, et il m’observa, tentant de me déplacer avec ces prothèses métalliques. Il me reposa alors et griffonna sur du parchemin les résultats de l’expérience…

— 16 Octembre 1625
Je viens d’avoir 26 ans hier, lors de mon troisième jour de captivité. Les Démonistes ont été cléments avec moi : Ils ont suspendus leurs expériences pour aujourd’hui. Je pourrais donc me reposer. Malheureusement, elle reprendront demain, et il doivent essayer un nouveau sortilège qui me paraît atroce, uniquement par son nom : le retrait d’âme.
Je n’arrive plus à fermer les yeux, tellement les visions diaboliques m’hantent… Il faut pourtant que je me repose si je veux réussir à survivre un peu plus longtemps dans ces lieux putrides.

— 17 Octembre 1625
Les Démonistes mon réveillé assez tôt. Ils disent que les expériences dureront longtemps, et ils m’ont placé sur un promontoire de cristal, après m’avoir enchaîné, comme un objet. Mais je ne suis rien d’autre qu’un cobaye, pour eux. Je le sais. Quand je ne leur servirai plus, ils iront au village pour enlever quelqu’un d’autre.
C’est avec difficulté que j’écris, car leur magie m’a beaucoup affaiblie. Ils m’ont retiré plusieurs fois mon essence vitale, ma personnalité, ma pensée de mon corps, puis ils le réinjectait, de diverses façons. Des dizaines et des dizaines de fois, sans s’arrêter.
Je vais essayer de dormir, même si je sais que lorsque je me réveillerai, de nouvelles expériences m’attendront, si ce ne sont pas des tortures.

— 18 Octembre 1625
En effet, aujourd’hui je n’ai pas subit d’expériences, mais bien pire. Les Démonistes enseignaient jusqu’à lors à un disciple diverses magies et sorts, mais cela ne m’affectait pas, ou peu. Mais aujourd’hui, j’ai souffert bien plus qu’autrefois. Le grand démoniste m’a immobilisé, et de sa lame ma complètement ouvert l’abdomen et le thorax, laissant à l’air libre mes viscères afin que le disciple puisse plus facilement comprendre l’anatomie humaine. Je ne pouvais mourir car ma vie était sous contrôle magique. Au bout de plusieurs heures, ils m’ont remis en cage, mais sans me refermer le ventre. Je souffre comme je n’ai jamais souffert. Ces derniers mots, je les écrits de mon sang, car je ne passerai pas la nuit.

J'ai également retrouvé dans un rembourage de la couverture un parchemin usé, mais encore lisible. Il donne les coutumes des Démonistes, mes coutumes. Le texte n'es pas complet, mais il est tout de même disponible...

Nous sommes Démonistes, car la nature l'a décidé ainsi. Nous sommes nés avec une soif intarrissable de sang, une faim incomblable de chaire humaine. Certain nous jugent barbare, peu civilisé, d'autres pensent encore que nous sommes les disciple du diable... Nous ne sommes rien de cela. Nous sommes des courants d'airs meurtriers qui soufflent dans les cheveux des jeunes filles, pendant la nuit. De celles-ci, ne reste que le cuir chevelut. Le reste n'existe plus... Voilà à peu près le vrai visage d'un Démoniste. Vous pourrez aussi l'entendre chanter les soir de lune pleine à la gloire de la Mort. Je vous conseil de vous rapprocher, et d'écouter. Ensuite, la mort s'occupera de vous...

Sur le verso du parchemin se trouvaient quelques chants à la gloire de la mort, plus excitants les uns, les autres...

Je possède aujourd’hui ce livre, que je conserve dans mon cœur et dans mon âme, car en l’ouvrant, j’ai libéré l’essence vitale des Démonistes, emprisonnée là par un sort, Dieu seul sait si c’était une malédictions portée par les ennemis des Démonistes, ou un enchantement leur permettant de continuer leur vie et leurs atrocités dans les siècles à venir. La seule chose que je sais, c’est que je suivrai leurs traces, que je marquerai de sang ôté de mes proies. Je ne suis plus a présent le barbare Demi-Orc d’autrefois. Ce que je suis, à présent, est difficilement explicable. Je suis devenu une bête avide de sang, et qui chasse, jour et nuit, sans répits. Tout comme l’est devenu Atlantis, mon compagnon d’arme autrefois, désormais mon compagnon de tueries...
Sur ce, je dois vous laisser. Il est tant que j’avive à nouveaux les feux destructeurs du passé, que ma magie resurgisse de mon corps. Il est temps pour la mort de reprendre ses droits. Vous comprendrez quand ma lame vous l’aura expliqué…

Buts de la guilde :
Là est la grande confusion dans laquelle certains se sont déjà fourrés. Ils pensent que nous sommes là uniquement pour la déstruction, mais non. Nous sommes avant tout des sages, bien que maléfiques, et scientifiques.
Nous sommes venus sur ce monde en tant que Démoniste tout d'abord contre notre gré, mais nous avons reçu une mission :
Redonner à la mort ses vrais valeurs, et élever le mal à son rang divin, alors qu'il est souvent dénigré par le pouvoir et autre.
Nous ne sommes pas avide de pouvoir. S'il nous arrivait de le possèder, certes nous le prendrions et nous nous en serviront, mais cela n'importe peu pour notre quète...

Règlements externes :
C'est très simple, et fondamental ; faire payer aux autres leur impertinence se traduisant soit pas une violence verbale ou physique. Nous ne pouvons tolerer ça, et nous devons faire respecter notre opinion.
De plus, il est assez important d'être assez actif sur ce forum, afin de faire connaitre aux autres seigneurs nos agissements publics et nos idéaux.

Règlements internes :
Il suffit de ne pas s'attaquer entre membre et tout se passera bien.

Importance d'un culte :
Les cultes au sein de la guilde ne sont ni proscrits, ni obligatoire, même si il est préférable de vénérer la Mort elle-même. Il n'y a pas de culte à lui rendre, si ce n'est lui faciliter la tâche sur ces terres d'Agueraton. Tout comme on peut lui rendre de fabuleuse cérémonies, des sacrifices, humains ou non, des louanges et autres. Rien n'est tenu comme obligatoire.

Relations entres guildes :
La guilde des Démonistes ne voit aucun remord à s'allier, économiquement ou militairement avec une guilde, quelle soit "bonne" ou "maléfique", tout étant question de point de vue, tant qu'elle peut y trouver un terrain d'entente avantageux pour elle. De plus, les pna devront être respecter tant qu'ils sont respecter dans l'autre camps, mais pas après. Et si une attaque est reçut de la part d'un allier, il sera raidé bien plus qu'une guilde avec un pna.

Rangs :
Les rangs n'importe peu, ils sont surtout là en titre onorifique pour un grand service rendu, ou pour une pieté exemplaire envers la Mort.

Institution Saeglin

Sur les terres d'Agueraton, les guerres et les menaces, les raides et les affrontements secouaient les murs de toutes institutions existante, faisaient tomber les batîsses construites à la force seul des Plouks, faisait chuter les combattants, au service du bien ou du mal. Les guerriers avaient pris la place des gens d'esprit, et l'or avait remplacé les livres. La philosophie du savoir était révolue, seul l'argent et le pouvoir comptait désormais. Il était arrivé un temps ou il n'y avait plus de distinction entre les deux camps. Par la nature de leurs actes, par leurs agissements. Tout n'était que sauvagerie et haine, que barbarie et vice. Les seigneurs étaient tous plus avides les uns que les autres. Même les mages les plus puissant étaient débordés par des subalternes, respectant autrefois leur maître, mais devenu fou dans leur quête de puissance. Les hommes n'était plus des hommes, mais des bêtes. La civilisation que nous croyions si avancée était retourné à néant, comme si des millénaires de savoir s'étaient éteint, en quelques années...
Plus personne ne savait qui était quoi. Presque personne.

Loin des tumultes et des méandres de la civilisation, se dressait en effet un batiment imposant, qui semblait intouchable et issu des rêves les plus fous.. Sous un soleil chalereux et plus lumineux que jamais, scintillait les lettres dorés indiquant L'institution Saeglin. Le ciel était d'un bleu compelt, et on pouvait entendre le chant des oiseaux, ce qui était désormais un rare privilège. Plus loin, en surplomb du toit de tuiles acre et bien rangés, une falaise de calcaire d'un clanc éclatant tombait droit dans une immensité aquatique. Le calme régnait et la sénérité était omniprésente. A savoir si le temps imposé aux autres seigneurs et contrés avait également cours en ces lieux paisibles. Bien que le décor semble irréel, des hommes et des femmes de toutes races, venant de tous endroits allaient et venaient. L'agitation ne troublait pourtant pas la purté de l'endroit. Le lieux était bel et bien vivant. Tout en haut de l'édifice, dans une des nombreuse fenetre vitrée, on distinguait une femme souriante, qui admirait le paysage. Ce n'était autre que Inwë Annàrë. Elle y siègeait en tant que directrice Elle avait fuit l'autre face du monde lorsque les choses commençaient à filer, sans que nul ne puisse intéragir...

Durant ces temps, une chose indescriptible s'était emparé du monde, bonne ou mauvaise, peu importait. Seul le pouvoir interressait encore et toujours. Les hommes, elfes et nains courraient à leur perte, sans même comprendre un instant la conséquence de leurs actes, sans même avoir le droit de le faire. Quelques êtres isolés comprennaient, après de longues et murs méditations, mais ceux-la, soit n'étaient pas écoutés, pris pour des fous, soit mourrait de biens nombreuses mais toutes aussi étranges façons.

Inwë Annàrë fut l'une d'eux, elle compris a son tour que le temps de la guerre devait finir et que la paix durable devait être instauré, à moins de décider de la fin des temps. Elle ne pouvait pas laisser cela se dérouler ainsi, et même si des seigneurs puissants l'écoutaient, ils ne voulaient pas comprendre. Elle fut alors frappé par le même mal que les autres, et fut projetté dans des torpeur indescriptibles, frisant mainte fois la mort, mais elle réussissait toujours à survivre, car en elle s'animait quelque chose que même la mort ne peut enlever : l'espoir. L'espoir et l'amour qu'elle portait à ces terres, ces terres d'Aguératon qu'elle avait maintes fois défendus faces aux barbares et autres... Mais contrairement aux autres, elle réussit à s'en sortir, et échappa à ces maux ainsi qu'à la civilisation. Elle s'en fut dans les fin fonds d'Agueraton, elle explora océan et mers, avant d'enfin trouver un asil à ces démences humaines. Elle se receuillit, reprit des forces, puis elle compris sa tâche. Elle créa alors L'Institution, et envoya de nombreux signaux à ses anciens compagnons, amis mais parfois également rivaux à la rejoindre, afin de les préparer à affronter le chaos lui-même.

Ils subirent un entrainement draconnien, apprirent enfin la vérité, et aussi à manier quelque chose de très puissant... ce que les imbéciles désignent comme une légende, la sagesse.

Objectifs de la guilde :
Si ce n'est l'objectif principal, c'est sans doute le plus important : l'apprentissage aux différents peuple, si ce n'est sur le forum, par envoie de message, les risques réel et les conséquences des guerres inscessantes. Cet objectif est certe difficile à réaliser, car les réticences seront nombreuses, mais il n'est pas dans le domaine de l'impossible. Il suffira beaucoup de bonne volonté.
Autrement, l'Institution a pour devoir de proteger les terres d'Agueraton des divers Fléaux s'abbattant, qu'ils soient bons ou mauvais, car ces "statuts" ne sont plus vraiement valable. Il faudra donc créer une petite armée, car j'entends par fléau aussi bien les orcs qui s'élence sur nos royaumes, mais aussi les guildes et clans asservissant les peuples pour gouverner le monde. Et ceci va à l'encontre de nos voeux. Le monde dois être libre, et les peuples se diriger eux-même, dans la direction qui les incombe de suivre.

Règlement externe :
1— avec les guildes et seigneurs normaux
L'institution n'interagit pas, ou peu sur le monde exterieur. Il se contente d'enseigner et de prévenir, ainsi que de proteger. Néanmoins, si il arrivait à l'Institution de reçevoir des attaques ou des menaces, quellle que ce soit, et de manière répeté, il réagira en envoyant des troupes sur les seigneurs concernés.
Pourtant, les raids et guerres sont a éviter si possible, afin d'éviter d'accelerer la menace généré par le chaos constant.
2— avec les envahisseurs d'Agueraton ou les dominants
L'institution se doit de réagir énergiquement, mais en premier lieu pas par la force. Nous devons d'abord essayer de parlementer, mais si cela est vain, alors les hostilités débuteront.

Règlement interne :
Les memebres de l'Institution doivent se montrer solidaires et proches les uns des autres. Bien sur, les attaques entres les membres sont proscrites, car stupides et très simplement aggravante.

Relations entre guilde :
L'Institution pourra très bien accepter un pna ou une alliance avec une autre guilde, mais celui-ci sera brisé dès la moindre guerre déclenché par l'allié, ou une attaque de sa part sur l'un des membres, ou encore son alliance avec une guilde dominatrice.

Rangs :
Seul Inwë Annàrë à un rang, celui de Directrice.