Le Grand Voyage
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Voici LE site sur le Grand Voyage, l'aventure fun des membres de Magic Corp'
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thedarksleeper
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MessageSujet: A.B.S.U.R.D.E.S   A.B.S.U.R.D.E.S EmptyLun 30 Aoû à 14:58

Voici le début de mon œuvre humoristique, Les aventures A.B.S.U.R.D.E.S d'Abdel et Geôrges-Albert. Le scénario est inexistant et le récit est bourré de violence gratuite maladroitement masquée par un emploit exessif de paraphrases et métaphores.

Enjoy !

Les aventures Abracadabrantes, Bouleversantes, Surprenantes, Urticantes, Redondantes, Délirantes, Etonnantes, Sidérantes d’Abdel et Geôrges-Albert

CHAPITRE PREMIER : SITUATION INITIALE

Geôrges-Albert Dupontel réfléchissait. Adolescent boutonneux, dont le QI pouvait se compter sur les doigts, il tapotait nerveusement ses innombrables boutons, espérant que la réponse viendrait de l’un d’eux. Il avait eu en effet la chance de participer à une «spéciale adolescents» du «Maillon faible», mais il butait sur sa première question : «où trouve t’on des lions en liberté ?». le compteur tournait, et, alors qu’il allait se bloquer sur un quadruple zéro,Geôrges-Albert déclara vivement : «je sais ! à la mini-ferme !». Un silence de mort envahit alors la salle, suivit de nombreux éclats de rire. Cinq minutes plus tard, Geôrges-Albert était chez lui. Sa réponse avait été considérée comme fausse, pourtant lui croyait dur comme fer qu’il avait raison. Il était même près à le prouver, à l’aide de cet argument pointus du même fer qui ne le quittait jamais. Mais il n’en fit rien, et alla sonner à la porte d’Abdel Popescu, son meilleur ami, de mère arabe et de père roumain, et qui habitait dans le même immeuble. Ce fut madame Popescu qui lui ouvrit. «Abdel n’est pas là ?» demanda Geôrges-Albert. Il reçut comme réponse qu’il était parti à la superette du coin, où il se rendit sur le champs. Abdel était un grand économe, presque même un avare. Il avait le talent de pouvoir faire les courses pour toute sa famille en déboursant un minimum, c’est à dire rien. Quand Gôrges-Albert atteint la superette, Abdel en sortait. Mais la caissière se mit dans la tête que les poches dAbdel étaient plus volumineuses à sa sortie qu’à son entrée, et entreprit de procéder à une fouille approfondie de ces poches. Elle en sortit de multiples choses, comestibles ou pas, qu’Abdel avait omis de payer, distrait qu’il était. La sinistre caissière, tout en lui jettant des regards méprisants, demanda alors au pauvre roumano-arabe (ou arabo-roumain, c’est au choix) la raison de cet oubli. Abdel répondit alors : «S’il vous plait madame, ne vous fachez pas. Je n’ais pas assez d’argent pour acheter la moitié de tout cela, personne ne l’a dans la famille. Mais pourtant, c’est le strict minimum pour espérer nourrir mes parents, mes grands parents des deux cotés, mes quatre arrières grand mères et mes huit frères et mes sept sœur, en espérant qu’ils me laissent des miettes pour que je puisse survivre. Ceci étant dit, Abdel accompagna sa réponse d’un lancer de bombe lacrymogène doont lui seul avait le secret/ le discours et l’acte furent si beaux et tristes que nul ne put s’empecher de pleurer. Les deux amis profitèrent du fait que l’auduence fut en émois pour s’éclipser. Ils parlèrent longtemps de cette magnifique tirade d’Abdel, qui devait rester dans les anales

CHAPITRE SECOND : ÉLÉMENT PERTURBATEUR

Le lendemain, un lundi, fut lui un jour d’une affreuse monotonie. Le dernier cours de la journée était un cours de math, animé par monsieur Fincu, au nom on ne peut plus inadapté, et qui avait le talent de parfumer la salle en quelques instants à l’aide de son épais postérieur. Dans une telle situation, et après la série de profs qui venait juste de défiler devant leurs yeux, les neurones de Geôrges-Albert et d’Abdel furent échauffées à leur paroxysme et, profitant de ce soudain gain d’intelligence, ils décidèrent d’un commun accord d’abandonner le cours, beaucoup trop simple pour leurs esprits évolués, pour se lancer dans de complexes travaux de ballistique, observant avec attention la trajectoire de boulettes de papiers lancées en l’air en fonction des vents de monsieur Fincu. L’une de ces boulettes atterissa alors malencontreusement sur le tableau, juste devant les yeux du professeur. Celui ci se retourna vivement et balaya la classe du regard. Celui-ci s’arreta sur Abdel et Geôrges-Albert, qui semblaient attendre avec impatience la suite du cours, leurs stylos à la main.
«Vous avez déjà finit vos exercices ? demanda le prof
— Euh… Oui oui ! répondit Abdel
— Puis-je voir ?
— Euh… Non non !» Abdel se mit alors à donner de violents coups de coudes à son camarade, lui demandant de le sortir de ce mauvais pas. Mais en vérité, aucun des deux n’avaient idée de ce qu’était cet exercice, leur exercice autodidacte s’étant révélé passionant. Finalement, monsieur Fincu s’élança jusqu’à la table la plus au fond, où se trouvaient les deux comparses, faisant profiter au reste de la classe de son tout nouveau moteur au colza, et il put alors admirer l’exercice d’Abdel : une feuille blanche en lambeaux, et celle de Geôrges-Albert était en encore plus piteux état. La colère du prof de math fut terrible, celui-ci invoqua les plus affreuses odeurs, que le diable lui-même n’eut put supporter, et, tandis que les élèves verdissaient et s’évanouissaient un par un, une double heure de colle pour Abdel et Geôrges-Albert, à utiliser tout de suite. Seul un miracle aurait pu le sauver, le genre de miracle qui ne se produit que miraculeusement, et c’est justement ce qui se produisit. Alors que Geôrges-Albert tournait des yeux et qu’Abdel sentait son déjeuné remonter jusqu’à son point de départ, un éclair les éblouissa et, quand ils rouvrirent leurs yeux, ils réalisèrent qu’ils n’étaient plus en classe et que les odeurs nauséabondes avaient disparues. Ils étaient à présent au centre d’une grande pièce circulaire, assis sur un étrange pentacle décoré de signes caballistiques. La salle était encombré de divers instruments d’alchimie et d’un grand poêle, ainsi que du père noël, impassible. «Le père noël !?» Abdel, qui avait cette facheuse habitude de penser à voix haute, sortit le bonhomme de sa torpeur.
«Je ne suis pas le père noël, répondit ce dernier, mais Ghtdq, grand magicien rouge, maitre alchimiste. Avant de vous expliquer le pourquoi du comment de votre arrivée en ces lieus, j’aimerais prendre connaissances de vos noms.
— Je l’appelle Geôrges-Albert Dupontel, répondit le sus-nommé, et lui c’est Abdel Popescu. Enchanté, monsieur Fzruit !
— Mais non, je m’appelle Ghtdq.
— Grstvf ?
— Non, Ghtdq : G…H…T…D…Q !!
— Parceque ça se vend ces choses là ?
Ghtdq devint alors tout rouge, comme le fond parfois ceux qui sont timides.
— Grmblargtgtgtgfukoff !!!!! déclara l’alchimiste
— Qu’est-ce qu’il raconte ? demanda Abdel, se tournant vers Geôrges-Albert.
— Je crois qu’il nous donne son nom de famille», répondit celui-ci.
Ghtdq devint alors noir comme un africain et les deux amis ne purent tirer de lui que son nom de famille. Ils réfléchirent longuement sur ce qui n’allait pas chez le magicien et Abdel réalisa que les présentations n’étaient pas terminées. Il entreprit alors une longue discussion entre l’alchimiste, le Docteur Martens © et son frère jumeau, tandis que Geôrges-Albert argumentait avec talent. Le débat s’était révélé passionant et Ghtdq semblait avoir besoin de se reposer…
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thedarksleeper
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MessageSujet: Re: A.B.S.U.R.D.E.S   A.B.S.U.R.D.E.S EmptyDim 1 Mai à 14:51

CHAPITRE TROIS : SÉRIE D'ACTIONS

Abdel et Geôrges-Albert décidèrent d'observer le silence pour laisser Ghtdq se reposer en paix, mais ils furent tenaillés par la faim au bout de quelques minutes. lls décidèrent donc de chercher, sans bruit, tout ce qui pourrait se manger. Ils explorèrent ainsi ce qui s'avéra être une tour et revinrent avec ceci :
— un fromage bleu-de-vert dont l'agréable arôme rappelait monsieur Fincu
— un rongeur décédé qui ressemblait comme un frère à Geôrges-Albert
— un liquide rouge que Ghtdq secrétait dans son sommeil
— un chewing gum prémaché, trouvé dans la poche d'Abdel avec des bouts de papier, sur lesquels il marquait ses cours pour mieux les retenir
— un verre d'eau servant de piscine à quelques insectes
— un étrange liquide vert, trouvé parmis les ustensiles d'alchimie
— quelques centaines de toiles d'araignées, et les araignées qui vont avec
— un bout de papuer griffoné, probablement par Ghtdq.
Sur ce dernier papier était marqué : « L Vln Mchnt rchrch ls dzs stttts d sclptr. S'l ls btnt, l prr cntrlr l mnd : l ft bslmnt l'n mpchr ».
Malgré leur faim, Abdel et Geôrges-Albert ne purent rien avaler d'autre que le rongeur et le liquide rouge de Ghtdq, qui avaient tous deux un gout un peu trop salé. Ils attendirent encore quelques instants puis, comme Ghtdq ne se réveillait pas, ils décidèrent de jeter un coup d'œil dehors. Il leur fut alors évident que leur hôte était bien le Père Nöel, et qu'ils étaient chez lui. Afin de pouvoir explorer ce monde inconnu sans craindre le froid, Abdel et Geôrges-Albert empruntèrent à Ghtdq son costume de Père Nöel (celui-ci avait poussé le réalisme jusqu'à se fournir des sous-vêtements de Père Nöel). Après tout, celui-ci n'en avait pas besoin pour dormir ! l'extérieur était très embrumé, si bien qu'ils ne purent apercevoir que quelques formes sombres. une musique se fit entendre, et les deux comparses décidèrent de la suivre. Ils arrivrent devant un attroupement de badauds, observants avec attention une troupe d'acrobates tandis que quelqu'un les allégeait de leurs peines. Il se trouvait que ce quelqu'un était lui même plein de peines. Par chance, le Dr Martens et sont frère ont tous deux une license en psychologie. Ils firent connaitre leur méthode New-Age à ce quelqu'un, et en quelques instants celui-ci fut débarassé de tout ce qui lui alourdissait le corps et l'esprit, mais fut toutefois pris d'un terrible mal de ventre. Mais Geôrges-Albert et Abdel se retrouvaient maintenant avec un trop plein d'affaires. Ils rentrèrent donc à la tour du Père Nöel afin de lui en confier la garde. Celui-ci dormait toujours, et son teint s'était bleuit. « Il doit avoir froid », déclara Abdel. La garde des lourdeurs de « quelqu'un » lui fut donc confiée, et il fut transporté dans son sommeil à côté du poêle. Abdel et Geôrges-Albert repartirent et, en se retournant vers la tour, virent que le Père Nöel s'était réveillé et qu'il faisait des signaux de fumée, bien que lui même ne fut pas visible. Ghtdq s'appliquait avec tant de talent que bientôt des flammes apparurent ! un indigène ébahi vint alors vers Abdel et Geôrges-Albert : « dpchz vs d fr l chn ! l l f ! ». Abdel décida alors de communiquer avec l'indigène dans son propre langage, qu'il avait eut le temps de comprendre : « nqtmrcnnrd » fut, d'après lui, une excellente réponse. Admirant le talent linguistique d'Abdel, l'indigène emmena celui-ci et son compagnon dans une grande maison luxueuse où ils furent acceuillis par un indigène en combinaison bleue.
« Bnjr mssrs. Q'st-c q vs mn c ? demanda ce dernier
— n pst t mrd t n t' trv ! répondit Abdel
— q !? j'xg ds xcss !
— mt t l mn ds l cl t fs l'vn
— grrrrvtffntmvtfe !!!! ». Deux autres indigènes en combinaison bleue vinrent d'une autre pièce et emmenèrent Abdel et Geôrges-Albert vers une cellule. Geôrges-Albert avait beau argumenter avec ardeur qu'il ne comprenait pas la situation, tous deux furent jetés dans la cellule. Leurs poches furent vidées et on trouva dans celles d'Abdel :
— une bombe lacrymogène, qui ne le quittait jamais
— une dizaine de chewing gums pré-machés
— de la mousse comme celle qu'il y a sur les arbres, mais avec une couleur, une odeur et une texture différente, ainsi que du papier et un briquet
— es bouts de papier sur lesquels il inscrit ses cours
— une patte de rat, gardée comme en-cas
Et dans celles de Geôrges-Albert ils trouvèrent :
— l'argument pointu qu'il utilisait tout à l'heure
— quelques unes des peines de « quelqu'un », sonnantes et trébuchantes
— la même mousse que celle d'Abdel, du papier et un briquet
— des boulettes de papier qu'il n'avait pas eu l'occasion de lancer lors des travaux pratiques avec monsieur Fincu
— le bout de papier griffoné par Ghtdq.
Les indigènes en combinaison bleue furent captivés par les cours d'Abdel. Quelques instants plus tard, le premier d'entre eux vint les voir : « je m'excuse, dit-il, j'ignorais que vous étiez étrangers. Vous ne saviez pas ce que vous disiez. Nous vons relacheons dès que vous aurez pris quelques cours de notre langue officielle ». Abdel et Geôrges-Albert durent donc prendre des cours de cet étrange langage, et aprirent ainsi qu'il s'agissait d'une sorte de français, mais sans les voyelles. On leur donna une traduction de ce qu'ils avaient déjà pu entendre, en commençant par le message de Ghtdq : « Le Vilain Méchant (c'est pas Lex Luthor ?) recherche les douzes statuettes de Sculpteur (bah non, Lex Luthor il fait pas parti du Front de Libération des Nains de Jardins). S'il les obtient, il pourra controler le monde (ils sont fort ces nains de jardin) : il faut absolument l'en empecher (de controlet le monde ou de sauver les nains de jardins ?) ». Voici maintenant une traduction du dialogue avec l'indigène :
« Indigène — dépéchez vous de faire la chaine ! (j'en étais sur, c'est un marxiste !) il y a le feu !
Abdel — nique ta mère connard (faudrait vraiment que t'arrete de dire n'importe quoi !)». Conversation avec les indigènes en bleu :
« Indigène bleu — bonjour messieurs, qu'est-ce qui vous amène ici ?
Abdel — on a pisté ta merde et on t'a trouvé !
Indigène bleu — Quoi !? j'exige des excuses !
Abdel — Met toi la main dans le cul et fait l'avion (je suis pas sur qu'il sache ce que c'est)
— grrrrbtffntmvtfe (je ne sais pas pourquoi, mais j'ai comme l'impression que ce n'est pas un compliment) ». Les commentaires entre parenthèses sont de Abdel et Geôrges-Albert. Il fut ensuite demandé aux deux héros de cette aventure passionante à quoi servaient le papier, le truc végétal et le briquet. Les indigènes aprirent alors une nouvelle signification pour "rouler" et "faire tourner", et ils en furent très contents.

CHAPITRE IV : NOUVEL ÉLÉMENT PERTURBATEUR
Abdel et Geôrges-lbert furent ensuite invités à rester dormir quelques jours dans la cellule. A la fin de ces quelques jours, un indigène en combinaison bleue vint les voir, avec une mine d'enterrement.
« j' n mvs nvll vs nncr, dit il tristement
— qu'est-ce qu'il raconte ? demanda Abdel à Geôrges-Albert
— j'en mouvais nivellé vos manucure, répondit ce dernier
— mais non, le dernier mot commence par un n, pas par un m, dit Abdel
— ça n'a pas de sens dans ce cas ! tu as du mal entendre, dit Geôrges-Albert
— VG ! s'exclama l'indigène en bleu. J dss q j'vs ds mvss nvlls vs nncr
— mais qu'est-ce qu'il raconte à la fin ? demanda Abdel
— euh… Je… dosais euh… que j'y vois… euh… du mauvaises nivellées vous énoncer, répondit Geôrges-Albert ». L'indigène devint alors tout rouge, comme s'il était impressioné par les fulgurants progrès de Geôrges-Albert. il repartit puis reparu un instant plus tard en compagnie du chef des indigènes en bleu, le premier que Geôrges-Albert et Abdel eurent rencontré. « On va vous laisser partir, mais à une seule condition, dit celui ci
— laquelle ? demanda Abdel
— et bien, le message du grand magicien rouge et maitre alchimiste Ghtdq que nous avons trouvé avec vous, il vous est adressé
— c'est à dire ?
— c'est à dire que vous allez devoir trouver les douzes statuettes magiques avant notre ennemi, où vous resterez nos prisonniers à jamais
— excusez moi, vous avez fait une faute sur "ou" : il ne faut pas d'accent
— désolé, cela m'arrive parfois. En tous cas, est-ce que vous acceptez votre mission ?
— évidemment ! les nains de jardin ça cours les rues
— très bien ! je vous ai préparé un petit guide immagé pour vous aider dans votre aventure. Il leur tendit alors une page déchirée de feuille double grand carreau format A4, au sommet de laquelle était écrit « GUIDE D'AVENTURE », avec des D courbés vers la gauche. Au dessous, se trouvait l'illustration grossière d'un nain de jardin, à coté duquel était marqué « stattuete magik : s'ai se queue vous devais trouvez ». Un peu plus bas, se trouvait le dessin en batons d'un bonhomme dont les yeux étaient des points faits au feutre fluo jaune. À ses cotés se trouvait le texte suivant : « le vilain spaictre : s'ai l'home deux min du méchan. Ile peu prandre nain porte quel aparrensse met il a toujour les ieu qui brille »
Voilà ! je pense que Ghtdq avait des nformations plus précises, mais tout à disparu dans un incendie »
À présent les deux compèrent doivent partir en quête. L'indigène leur a conseillé de partir chez le Sculpteur, dans la ville de Brana. Pour cela, il leur faut prendre la mer depuis le port de Nutamé, au sud.
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thedarksleeper
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MessageSujet: Re: A.B.S.U.R.D.E.S   A.B.S.U.R.D.E.S EmptyJeu 19 Mai à 12:49

CHAT PITRE 5 : ENCORE DE L'ACTION

Après de longues heures de trajet le long de deux patés de maisons, Abdel et son ami arrivèrent à bon port. Le chef des indigènes en bleu avait mis tout le monde au courant de leur venue et de leur quête, si bien qu'ils furent attendus et accueillis avec des « brv !» et des « bnvn Ntm ». Geôrges-Albert se chargea de traduire les clameurs : « bravo ! » et « ben vien niquer ta mère ». Considérant à présent avec de la bonne humeur de langage des indigènes il leur répondit « tg nfr j't pt ls dnts ». La foule fut mise en émoi par un tel talent, et Geôrges-Albert put aller, avec Abdel évidemment, à la galère qui leur était destinée. Le tour du propriétaire, un petit homme ventripotent, fut rapidement et joyeusement effectué, mais l'ambiance changea quand la cale fut atteinte, où se trouvaient les rameurs. Abdel fut révolté par la vue de pauvres noirs, se reposants après un voyage épuisant. Le propriétaire, visiblement un étranger, leur expliqua : « ce sont des twavailleu' de Bwana qui sont ici de leu' plein gwé pou' gagner de l'awgent. Ils sont bien twaités et nouwis ». Bien qu'ils ne comprirent rien, Abdel et Geôrges-Albert surent qu'ils pouvaient faire confiance à leur hôte. A peine quelques instants plus tard, ils furent en mer. Celle-ci étant d'huile, les rameurs eurent fort à faire et, comme ils ne relachaient pas leurs efforts après plusieurs heures de navigation, Abdel s'inquiéta de leur situation et décida d'aller leur rendre visite. Tous les rameurs étaient là, dormant paisiblement tout en ramant. « Ils dorment !? » Cela a déjà été dit, Abdel a tendance à penser à voix haute. Résultat, tous les rameurs se réveillèrent en sursaut, et arretèrent de de ramer. Le capitaine et propriétaire du bateau accourut aussitôt pour voir ce qui se passait, mais il du vite remonter sur le pont. Un appel se fit entendre : « au secou', les piwates ! ». Les piwates, euh pirates. Ces terribles pillards des mer du Sud, du Nord, de l'Est et de l'Ouest, se déplacent dans des bateaux à moteur nucléaire, atteignant 850 chevaux. Sur la figure de proue de ces bateaux, se trouvent une vingtaine de kilos d'explosifs : ainsi le bateau des pirates, en percutant le pauvre bateau innocent qui se trouve sur son chemin, le fait exploser. Les pirates explosent aussi mais bon, on ne peut pas tout avoir. Et justement, un de ces bateaux fonceait sur les héros de l'aventure. les pirates avaient calculés à la perfection la trajectoire à suivre. Enfin, à condition que le bateau en face ne s'arrete pas, ce qui vint d'arriver. La vigie put voir passer un bateau pirate. Ce fut rapide et terrifiant, et surtout suivi d'un grand boum. Dans les instants qui séparèrent ce terrible évènement de leur débarquement, le capitaine tacha d'expliquer la situation à Abdel et Geôrges-Albert : « ces wameu' sont des twavailleu's somnanbules. Ils n'ont pas besoin de se weposer, de manger, de fai' des pauses. Et ils sont touwou' en pleine fowme ». N'ayant toujours rien compris, Geôrges-Albert et Abdel furent persuadés que le capitaine n'avait que des bonnes intentions. Quelques instants plus tard le bateau était à Brana. Abdel et Geôrges-Albert avaient pour missionde se rendre dans la foret la plus proche, pour y rencontrer leur contact. Ils s'y rendirent donc. Il n'y avait qu'un seul arbre dans toute la forêt, et elle était entourée de gazon et d'une maison, ainsi que d'une palissade. Ils attendirent ainsi pendant plusieurs heures, quand finalement la faim les poussa à entrer dans la maison. Celle-ci était vide, mais elle devait toutefois être habitée. Le hall d'entrée est en effet très coquet mais, justement, il n'y a que le hall d'entrée. En fouillant, les aventuriers découvirent une trappe menant au salon, dans le sous-sol. Ce même salon est relié à diverses pièces, toutes souterraines, ce qui résoud le problème de l'absence de pièces en surface. Il n'empeche que la maison est quand même vide. Il n'y a même pas de cuisine ! et les ventres d'Abdel et Geôrge-Albert crient famine. Ils décident de repartir de cette forêt pour partir à la recherche de nourriture, puis de leur contact. Ils visitèrent donc le village et se rendirent immédiatement au batiment qui leur paru le plus important : un immense grenier. L'entrée principale était gardée par deux gardes branais, aussi décidèrent-ils de contourner le batiment. Ils trouvèrent à l'arrière une fenêtre, mais il fallait une échelle pour y accéder. Ils retournèrent donc à l'entrée principale et s'adressèrent aux gardes : « auriez-vous, s'il vous plait, une échelle ? », dit Geôrges-Albert, en se courbant le plus possible. Observant l'agréable angle plat que formait Geôrges-Albert, l'un des gardes lui répondit sur le même ton : « nous en avons une, jeune homme, mais nous désiwewions savoi' pouwquoi vous en désiwassiez une ? ». Abdel et Geôrges-Albert s'interogèrent du regard, chacun cherchant une traduction dans les yeux de l'autre. Finalement, en désespoir de cause, ils décidèrent de passer en force. Ils se ruèrent vers les gardes, poings en avant, hurlant de rage. Les deu gardes firent chacun un pas de coté. Abdel et Geôrges-Albert firent recontre avec la grande porte, avant de faire des rêves merveilleux.

(dans le prochain chapitre, vous pourrez voir la première apparition du vilain spectre !)
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